Après une interruption de plus d'un mois, nous reprenons la publication. Voici donc quelques informations issues essentiellement des réunions de CE ordinaire du 18 octobre, du CE extraordinaire du 7 novembre, des réunions CHSCT des 24 et 28 septembre, mais aussi du terrain.
- Sur le plan économique, Faiblesse des prises de commandes à l'export prévues en dessous du budget à fin d'année pour SIX-GTS. Toujours autant de souci pour PRS et des prises de commandes très inférieures au budget pour C4S et qui le resteront à la fin de l'année. La GPEC se poursuit et des salariés restent en difficultés dont on peut parfois se demander si elles n'ont pas été créées intentionnellement. Le prochain plan de charge pour 2019 risque d'accentuer les dégâts. Toujours autant d'activité pour GTF, des prises de commandes très substantielles, mais des affaires toujours tendues et de nouvelles personnes qui souffrent et se rendent au Service Santé au Travail, ce qu'il ne faut pas hésiter à faire quand c'est nécessaire. Et possible. Car certains souffrent en mission à l'étranger avec des horaires de travail insupportables, surtout quand la durée se prolonge bien au delà du raisonnable.
- Transfert effectif au 1er octobre (administratif, sans changement de lieu de travail) des personnels du SOC issus de Thales Services. Pour ITS Toulouse, l'intégration reste à mettre en place dans la pratique et beaucoup de questions que se posent les salariés n'ont pas encore trouvé de réponse. Le responsable a bon espoir que le recul économique observé sur l'activité et lié au rachat de Gemalto, pourra se résorber assez rapidement.
- Médecine du travail : la Direction a consulté le CE pour la mise à la retraite du médecin du travail, qui pourrait intervenir au 1er trimestre 2019. Les élus ont voté contre ce projet par 7 voix sur 8. Il leur semble prématuré, alors que les situations de souffrance constatées dans l'établissement perdurent et qu'il n'est pas certain qu'un relais suffisant puissent être assuré avec un nouveau médecin.
- Vie du site : la gestion des déchets est toujours aussi critiquée depuis que les poubelles ne sont plus vidées dans le bureau. Conteneurs qui débordent fréquemment, odeurs, parasites nuisibles : les salariés ne comprennent toujours pas ces méthodes. Certains manifestent leur colère. Quant aux ascenseurs, les pannes se multiplient et la maintenance laisse fortement à désirer.
mercredi 14 novembre 2018
Brève synthèse de l'acutalité sociale de l'établissement au 14 novembre
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