Si, si, vous lisez bien. Aucun secteur n'échappe aux économies. La santé des salariés s'en trouve régulièrement atteinte, tout comme la satisfaction de leurs besoins les plus... primaires !
S'il n'y avait deux équipes concernées, cela ferait sourire. Que l'on en juge. Une partie des activités de T3S se déroule sur un site voisin (ex-TED) mitoyen à THAV et Dassault Systèmes, notamment pour la réception des livraisons et pour des activités NRBC. Ces équipes n'ont pas de toilettes dans leurs locaux et devaient se rendre dans le bâtiment voisin en traversant une cour extérieure (vous savez... la cabane au fond du jardin) Mais depuis l'installation d'un nouveau restaurant d'entreprise, il y a déjà de nombreux mois, il n'ont même plus accès à ce bâtiment. C'est maintenant le parcours du combattant. Gastro, diarrhées, s'abstenir ! Arrêt de travail obligatoire ! Bref, il semblerait bon que les véritables responsables de cette situation installent leurs propres bureaux dans ces locaux, histoire d'en apprécier les grandes joies.
Mais ce n'est pas tout.
Lors de la présentation au CHSCT du projet Velib, un décompte du nombre de toilettes a été demandé. En tirant sur la ficelle jusqu'à la rompre, la direction explique aux élus que le minimum syndical est juste respecté. Fichtre. Faute d'entretien à la hauteur, des colonnes entières de toilettes sont régulièrement fermées, avec toutes les conséquences que l'on imagine. Il en est ainsi depuis 2007, date d'arrivée sur l'ancien site de MBDA à Vélizy-le-bois. Bref, en fait, ce minimum n'a jamais été respecté.
jeudi 30 juin 2011
T3S Vélizy : des économies incongrues... jusque dans les toilettes !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Quel est donc ce minimum syndical ?
Enregistrer un commentaire