Actualité sociale T3S Vélizy au 9 mars

CE du 28/02 : Pas de chiffres pour janvier. Les affaires difficiles restent les mêmes. Le marché nord-africain pose toujours des problèmes pour CTS et SIG. Le pipe est plutôt satisfaisant. Ce n'est pas comme les résultats 2010. Pour des informations économiques plus précises, voir notre intranet. Handicap : proportion des salariés identifiés à T3S : 1,96%. Très loin de l'objectif légal. En conséquence une contribution importante est versée à Thales Mission Insertion. Quelques informations supplémentaires sur la fusion avec TCF. Demandez-les sur place à nos représentants. Information sur l'accord astreintes : il a été approuvé en CCE et a été signé le 03/03. Quelques cadres en forfait horaire ne s'y retrouvent pas. Des compensations devraient pouvoir être obtenues par avenant. Logiciel Tempo : cet outil n'est pas vraiment bien accueilli et plutôt mal perçu, tant par les salariés que par les managers. Il n'est vu que comme une contrainte de plus. Les cadres le rejettent en masse et ne l'utilisent pas. Rappelons qu'il avait fait l'objet de 3 avis globalement négatifs : au CHSCT, au CE et au CCE.

CCE du 2/03 : pas de scoop. Les sujets sont la reprise de point du CE. Accord astreintes, emploi des handicapés, temps de travail.
Les élus du CCE préparent une (longue) liste de questions, transmise ce jour à la direction de T3S concernant le projet de fusion. Les reponses devraient être données lors d'un prochain CCE.

Velib - réunion du Groupe de Travail du 8/03 sur l'aménagement du site de Vélizy. On continue de détailler les typologies des bureaux et des "espaces de travail partagés" ainsi que leurs aménagements. Nombreuses remarques et des propositions. Les salariés auront le choix, nous dit-on, de différents types d'aménagement en fonction du nombre de postes du bureau. Mais l'affectation se fera très probablement sans qu'on leur demande leur avis. Comme cela vient de se produire, une fois encore pour le service Achats. On continue donc de passer totalement à côté d'une étape majeure qui consiste à examiner les besoins d'aménagement liés au métier de chaque salarié. La réduction de la surface utile par salarié est présentée comme inévitable. Les problèmes de confidentialité ne sont pas traités du tout. L'augmentation de la densité entrainera sans aucun doute un besoin supplémentaire en salles de réunions. Refus de la direction d'aborder ce point. Nous risquons de nous retrouver dans des situations invivables voire inextricables dans bien des cas, entrainant ainsi une dégradation sensible des conditions de travail, constituant alors une cause primaire de risques psychosociaux supplémentaire. La CFTC a donc émis des alertes à plusieurs reprises. Elle le fera de façon encore plus formelle si nécessaire. Jusque là, la direction a fait la sourde oreille. Elle a maintenant promis... d'examiner la question !

GTRPS (Groupe de Travail sur les risques PsychoSociaux) : les séances de sensibilisation aux RPS commencent. Elles seront animées par le médecin du travail. Trois réunions sont prévues avec des salariés volontaires en mars et avril. Les situations à risque se multiplient à nouveau. Malheureusement. Si des améliorations significatives ont été apportées sur certains points, il reste bien des aspects non traités pour la prévention, plus de 15 mois après le "diagnostic partagé" La rubrique RPS du site intranet de T3S est morte depuis l'été dernier. Bravo la Communication... aux abonnés absents. La CFTC a fait monter la pression pour que les travaux de ce groupe reprennent de façon sérieuse et surtout pour que les actions promises par la direction soient réalisées.

Commission économique Vélizy du 9/03. Pratiquement toutes les informations communiquées sont confidentielles. Adressez-vous à vos représentants. Aucune information donnée sur les charges de l'entreprise bien que ce point figurait à l'ordre du jour. Les VRAIS CNQ sont toujours tabous. La Direction répète à l'envi que nous avons de la chance de faire partie d'un groupe, que sinon nous n'existerions plus.. bref, avec tout ça, si les salariés ne se sentent pas coupables...