Deux points principaux à l'ordre du jour de ces deux réunions qui ont mobilisé la journée entière :
- Règlement intérieur de l'établissement : il n'avait pas été mis a jour depuis T3S et n'était plus du tout adapté, notamment en ce qui concerne les horaires de travail et le contrôle du nouveau minimum de temps de repos de 12h. Passage en revue du texte proposé par la direction. Nombreuses remarques et discussions qui ont pris beaucoup de temps et n'ont pas permis la consultation prévue ni au CHSCT ni au CE.
- Projet de mise en place du télétravail : très (trop) nombreuses questions sur ce thème en CE et qui n'a même pas pu être abordé en CHSCT. De ce fait, les consultations n'ont pas été réalisées. Un nouveau CHSCT est d'ailleurs prévu le 14 décembre, lendemain des élections. La CFTC rappelle à cette occasion qu'elle est favorable au principe de ce premier accord. Écoutant la demande renouvelée de nombreux salariés pour lesquels le télétravail permettrait de réduire de façon significative les contraintes quotidiennes de transport, elle souhaite que le processus de mise en place de cet accord arrive à son terme au plus tôt, alors que les négociations sont terminées à TCS en central depuis le 21 septembre dernier.
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2 commentaires:
J'ai noté avec désarroi sur plusieurs tracts d'autres confédérations syndicales pour les prochaines élections, que l'accord local du Télétravail de TCS (et donc sur Vélizy) était suspendu à des négociations Thales groupe. Pourquoi ?
Et en plus je ne comprends pas ce paradoxe car en même temps j'ai lu un tract affiché réunissant 3 syndicats groupe réunis annonçant la rupture de toute négociation avec Thales groupe pour faire partir Vigneron. Alors faudrait il que Vigneron parte (on ne sait quand) pour espérer un accord sur le télétravail à Vélizy ?
Or il y a urgence !
Une fidèle lectrice du blog Cftc
Merci pour votre appréciation.
En fait vous poursuivez le débat entamé sur un précédent post :
Flash info : Télétravail.
du 19/11/2012.
Voir les commentaires.
Sans aborder les aspects politiques du type de position que vous décrivez et en ne prenant compte que des bonnes intentions, on pourrait dire aussi que le mieux est l'ennemi du bien : à vouloir trop en faire, compte tenu des moyens limités dont nous disposons, nous risquons bien de ne rien obtenir du tout.
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