Les avis sont pour le moins partagés. Du côté des salariés comme des syndicalistes. Si le "travail syndical", soutenu par une partie des salariés a permis de gagner quelques dixièmes de points dans les "négociations", on ne peut pas dire que tout le monde soit satisfait, bien que TCS se retrouve maintenant en tête du peloton des filiales Thales. Ce qui reste le plus fort pour une partie des salariés c'est l'injustice de la distribution entre actionnaires et salariés, d'une part et l’iniquité entre hiérarchies et salariés, d'autre part. Mais, tout au moins dans les sites où le collectif est le plus fort, les moyens "habituels" ont été épuisés : manifestations, blocages de quelques heures, communiqués de presse locaux etc. Aller plus loin aurait nécessité des mots d'ordre de grève qui auraient eu bien peu de chance d'être suivis sérieusement. Ce qui suit, les syndicalistes de terrain le connaissent bien. C'est l'insatisfaction aigüe qu'éprouvent certains salariés quand, enfin, ils ont le "retour de la politique salariale". Et c'est là que le travail "individuel" commence, après la partie collective, et... pour le reste de l'année !
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